La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1539)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1538) -
Chapitre 12 bis : Changement de statut devant témoins
Sur ces pensées je sombrais doucement, perdais lesprit, mendormais !
Jétais tiré de mon sommeil par des caresses sur mon visage ainsi que sur ma chevelure. Javais la sensation de sortir dun rêve diffus, encore groggy. Je me demandais où jétais, sentais mes muscles courbaturés, mes fesses endolories, mon anus douloureux. Sans ouvrir les yeux, je métirais et me laissais cajoler par cette main bienveillante en me rappelant ce que javais dû subir. Les souvenirs de laprès-midi et de la soirée me revenaient avec plus de netteté au fur et à mesure que je me réveillai, au fur et à mesure que cette main glissait sur mon dos meurtri. Je sursautais lorsque ces doigts effleuraient dans mon dos, les boursoufflures laissées par le fouet. Jécartais mes jambes presque machinalement lorsque Son majeur frôlait le haut de mes fesses, simmisçant juste au début du creux de ma vallée intime. Jespérais Linviter à poursuivre Sa route dans ce sillon jusquà cette cavité cachée. Drôle de sensations : Je me sentais, dune autre manière, totalement possédé par cette douceur et ces doux câlins. Je savais que cette main, ces doigts nétaient autres que ceux du Maitre, comme si javais reconnu demblée Son sublime touché, Sa façon à me caresser, à la fois douce et inquisitrice. Alors jouvrais les yeux, il faisait jour. Jhumais une bonne odeur de café. Monsieur le Marquis me regardait dun air complaisant, un sourire aux lèvres. Il portait simplement un short et un tee-shirt.
- Il semblerait que tu aies bien dormi, esclave !
- Oui Maître
Je commençais à sentir une sorte dexcitation mentale et physique à juste Lentendre mappeler esclave
Cela était nouveau pour moi, après ce récent vécu de ce changement de statut. Il me fallait encore un peu de temps pour savourer cette évidence, jétais donc sur mon petit nuage
- Aller, il est lheure de te lever, tu vas nous servir le petit déjeuner.
Le Châtelain détachait la chaine de lanneau mais la laissait pendre de mon collier. Son contact froid contre mon dos abimé, me faisait frémir. Jétais conduit en quadrupédie dans la cuisine, comme un petit toutou suivrait docilement. Le Noble mordonnait de dresser la table.
- Tu installes seulement trois bols sur la table, Madame Alice est partie très tôt ce matin. Et toi, tu prends cette écuelle et tu tinstalleras là, près de moi, à Mes pieds.
- Bien Maître
Monsieur Jean apparaissait dans lembrasure de la porte. Il était nu, le sexe semi érigé, ces cheveux grisonnants en bataille, lil encore endormi. Il sinstallait à table :
- Bonjour Edouard,
- Bonjour Jean !
- Tient la salope est là ! Un esclave ne mérite pas un bonjour, même pas un regard ! Car un esclave est un objet quon utilise, comme on utilise une casserole par exemple, et je ne me vois pas dire bonjour à ma casserole
Je ne saluerai donc pas cet esclave
- Bonjour Monsieur, lui répondais-je en baissant la tête servilement comprenant que pour moi, il valait mieux que je lui dise bonjour après cette nouvelle humiliation de manque de considération à me comparer à un ustensile de cuisine, à un objet quon utilise. Mais javoue quen acceptant dêtre esclave à Monsieur le Marquis, cétait exactement ce que jétais devenu, un simple objet à être utilisé quand bon Lui semblera, et ce rappel à cette concrète réalité mexcitait finalement car jétais fait pour être humilié, je devais laccepter, je devais maccepter tel que jétais, ni plus, ni moins
Peu après arrivait Sébastien, lui habillé, avec du pain frais sous le bras. Comme à son habitude, il ne faisait pas cas de moi, il mignorait même totalement, et je navais même pas droit à un regard, comme venait de lexprimer tantôt, Monsieur Jean. Mais de la part du jeune blond Dominant, cétait plus du mépris qui magaçait sincèrement. Et paradoxalement exacerbait objectivement mon excitation.
- Viens ici, salope, viens te mettre accroupi devant moi, présente-moi ton écuelle.
A peine étais-je installé devant lui quil empoignait son sexe flasque pour le diriger vers mon écuelle. Il se concentrait quelques secondes puis pissait deux bonnes rasades dans le réceptacle que je lui tendais, tout en contrôlant parfaitement sa miction !
- Aller, retourne à ta place et bois ta bouillie aromatisée de ma pisse, elle te fera le plus grand bien !, mexigeait-il en riant à gorge déployée.
Subrepticement, je jetais un il dégouté à Monsieur le Marquis, presque impassible car seul un sourire bien pervers se dessinait sur Son visage.
- Quattends-tu pour obéir, alexesclave ?
Remis en quadrupédie, je ne disais mot et portais ma bouche à lécuelle. De multiples lapements, javalais tel un chien, en contrôlant mes nausées et mes envies de vomir. Je baissais la tête dans ma gamelle, serrais et desserrais la mâchoire, fermais les poings pour me contenir.
- Il y a quelque chose qui ne va pas, esclave ? Parles, réponds, je ty autorise quand je te questionne
- Tout va bien Maître, mentais-je en grognant
- Alors si tout va bien, jexige très rapidement à te détendre
Le Châtelain savait, il avait vu mon il réclamer indulgence et pitié, mes poings se serrer à même le sol, ma mâchoire se crisper entre deux lapements. Il me poussait dans mes contradictions, voulait faire rapidement tomber les barrières psychologiques pour passer à létape supérieure. Impossible pour Lui de me laisser ainsi bloqué avec ces craintes ou peurs intrinsèques. Il était hors de question de me voir utiliser des stratégies dévitement, de procrastination. Il voulait simplement me sentir dépendant de Sa Volonté, strictement obéissant, dune docilité extrême à toute épreuve
Ces suppositions venaient de mexciter ! Ma queue se torturait contre les parois de cette cage de chasteté devenue subitement trop étroite
Mes couilles subissaient une pression intolérable, je ne tenais plus en place, me trémoussais, frétillais et mon bassin ondulait sans même que je le veuille.
- Tu souhaites quelque chose, alexesclave ?, interrogeait vicieusement le Maître, comme sil navait pas compris.
- Jouir, Maître, sil vous plait !
Ma voie était rauque, je nen pouvais plus.
- Mets-toi à genoux !
Le Châtelain venait de sortir de Sa poche, la petite clé du cadenas fermant ma cage de chasteté. Mon sexe libéré se redressait aussitôt.
- Aller, jaccepte ta requête, je suis de bonne humeur ce matin, tu as de la chance
Caresse-toi et fais-toi jouir alexesclave. Mais tu gicleras ton foutre de chien dans ta gamelle, ça complétera ta bouillie avec la pisse de Jean
Nous te regardons.
A genoux, je ne bougeais pas, soudain pétrifié. Je ne pouvais pas faire ça ici, devant eux trois. Et en plus à éjaculer dans ma propre gamelle pour ensuite avaler mon propre sperme
- esclave, soit tu te branles maintenant, soit tu vas devoir attendre très longtemps, crois-moi.
Au diable lhumiliation, lenvie était trop forte avec ma nouille au zénith, droite comme un I, ma hampe gorgée de sang, mon gland violacé ! Alors à genoux, cuisses écartées, je commençais par me caresser les couilles puis jenroulais ma main tremblante autour de ma nouille, faisant de lents va-et-vient, avant daccélérer le mouvement en gémissant. Enfin le plaisir montait, gonflait mes testicules et passait dans mon membre si dur quil me faisait mal. Je visais ma gamelle en me penchant en avant en appui sur une main tandis que lautre masturbait mon sexe près à exploser. Alors je jouissais mon foutre dans lécuelle en criant, à la vue de tout le monde, le visage transformé par lintense plaisir qui me traversait. Ma semence jaillissait abondement par saccades
Je sursautais encore tandis que les dernières gouttes de sperme perlaient de mon gland jusquà ma gamelle. Je me laissais tomber à quatre pattes, lâchant ma deuxième main, les yeux mi-clos, la respiration hachée.
- Merci Maître !, ânonnais-je, en me prosternant devant lui, cul relevé, mes lèvres embrassant Ses orteils
- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !
(A suivre)
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